Ce blog propose souvent des billets faisant référence au modèle de l’ennéagramme, en voici une présentation sommaire.

Alors que le monde devient de plus en plus complexe, la nécessité de fonctionner en intelligence collective s’avère pressante ; quand l’unité de travail n’est plus l’individu mais le groupe, fonctionner ensemble, sans se perdre, devient vital. Plus que jamais coopérer est de mise.

Pourtant, qu’elle est difficile, cette coopération ! En effet, chacun de nous dispose de sa carte du monde [mfn]En référence à Alfred Korzybski , « la carte n’est pas le territoire » : notre système nerveux perçoit, interprète et modifie ce qui nous entoure. Nous construisons ainsi une représentation du monde, notre carte qui diffère de celle de notre voisin.[/mfn].D’ailleurs quelle que soit la carte que nous utilisons lorsque nous nous orientons en ville ou en randonnée, représente-t-elle l’intégralité du paysage que nous voyions ? Non, jamais ! C’est pareil pour la représentation que nous avons du monde qui nous entoure. : une représentation de ce qui nous entoure, une façon de filtrer et d’interpréter ce que nous voyons, entendons, percevons.

Découvrir l’ennéagramme, c’est comme utiliser une boussole pour explorer ces territoires et ces différentes cartes.

Qu’est ce que l’ennéagramme ?

Modèle plus que millénaire, l’ennéagramme a accompagné des sages et des moins sages sur des décennies. Il nous révèle ce qui anime les femmes et les hommes, leurs motivations profondes et les stratégies d’évitement qui les mettent en mouvement ou les paralysent.

L’ennéagramme nous raconte comment nous créons notre propre carte du monde à partir de motivations inconscientes !

Décodeur moderne, l’ennéagramme met en lumière ce que chacun de nous a de plus beau, de plus noble, ce que nous apportons au monde, quelle est notre contribution naturelle. Il nous révèle aussi notre part d’ombre, les mécanismes répétitifs et parfois inadéquats que nous mettons en place, les filtres que nous installons, les peurs et les croyances dans lesquelles nous nous enfermons, qui agacent parfois les autres, et nous empêchent de coopérer pleinement.

Expérimenter l’ennéagramme, c’est se doter d’un bel outil pour comprendre le cœur des femmes et hommes, être dans l’action juste et vivre de vraies émotions. Retrouver la présence à soi-même et aux autres, mieux se connaître pour devenir la meilleure version de nous-mêmes, mieux comprendre l’autre pour se mettre en lien et communiquer vraiment avec lui, être en capacité d’aller visiter d’autres cartes en toute sérénité.

Bref, l’ennéagramme est un modèle pour comprendre la psyché humaine dans ce qu’elle a de plus profond. Il décrit neuf profils de personnalités et donc neuf visions du monde.

Témoignages sur les apports de l’ennéagramme

Personnellement, la découverte de ce modèle a changé ma vie, en 2012. Avant, j’avais travaillé, en vain, à éliminer la colère en moi. Ce n’était pas le bon chemin ! En découvrant l’ennéagramme, j’ai compris que cette colère était une part inhérente de mon fonctionnement et que je devais l’utiliser, la transformer en énergie et non la combattre. Le bénéfice a été immédiat dans ma relation aux collègues de travail. L’apport a été extraordinaire pour ma posture de parent. Les bienfaits ont été tels que j’ai changé de vie, de métier. Depuis maintenant seize ans, j’utilise le modèle quotidiennement à titre personnel ou pour accompagner mes clients.

Voici quelques témoignages de personnes formées au modèle de l’ennéagramme. Ils vous racontent les apports de cette découverte.

Cliquez sur les images pour explorer les liens :

    


S’engager sur la route de l’ennéagramme, c’est souvent le voyage d’une vie. C’est un chemin de transformation pas toujours confortable : il explore la part de lumière et le côté obscur.

Alors partant.e pour explorer les neufs mondes avec courage, authenticité, bienveillance et sans complaisance ?
Pour en savoir plus,
c’est par ici.

N’hésitez pas à me demander des références et des sites fiables.


[1] En référence à Alfred Korzybski , « la carte n’est pas le territoire » : notre système nerveux perçoit, interprète et modifie ce qui nous entoure. Nous construisons ainsi une représentation du monde, notre carte qui diffère de celle de notre voisin.

D’ailleurs quelle que soit la crte que nous utilisons lorsque nous nous orientons en ville ou en randonnée, représente-t-elle l’intégralité du paysage que nous voyions ?
Non, jamais ! C’est pareil pour la représentation que nous avons du monde qui nous entoure.